
« Ma démarche n’est pas raciste,
elle est réaliste »
A 93 ans, l’ancien patron du Front National, figure emblématique de la politique française, revient sur son combat contre l’immigration et parle de ce qu’il souhaite laisser au monde. Interview exclusive sans concessions.
Christelle : Jean-Marie, en octobre 1972, vous êtes nommé Président du Front National et vous bâtissez votre campagne sur la critique de l’immigration. Cinquante ans plus tard, quel bilan dressez-vous ?
Jean-Marie : En cent cinquante ans, la population mondiale est passée de deux à huit milliards. Cela aura pour conséquence de projeter des centaines de milliers ou de millions d’individus en direction de ce qu’ils croient être « l’eldorado ». Un véritable torrent migratoire va déferler vers ce que j’appelle le bloc boréal qui s’étend de Vladivostok à Gibraltar et qui comprend les pays de l’ouest européen et les pays slaves. Aussi, nous devrions déjà prendre des précautions pour limiter le nombre des immigrants clandestins qui viennent sans autorisation et nous ne le faisons pas !
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